Cliquez ici >>> 🌩️ 10 arguments pour et contre le végétarisme
Etau niveau de l'argument moral pour le traitement des animaux, diminuer la consommation de viande et encourager un élevage de qualité, par exemple fin de l'élevage en
disonsque je pense qu'on devrait revenir a des valeurs plus humaines ou plus en adéquation avec la nature. avant l'homme tuait ou trayait pour manger et uniquement pour manger. aujourd'hui l’alimentaire est une véritable industrie a profits mondiaux enrichissant des firmes. c'est ce qui fait ce dérapage. pour en revenir au titre, le végétarisme ne sera pas une
Pourle fer et les protéines, Et ce grâce à de nombreux mois de rechercher sur le végétarisme et des livres achetés ^^ On a beau être une goutte perdue dans l'océan, ensemble, on peut faire quelque chose de grand 🙂 . Répondre. Vanessa dit : 24 avril 2014 à 9 h 46 min. Ma maman l'a mal vécu au départ, je vis encore chez elle et ça la soulait que je ne mange plus ce
UnBlog pour réfléchir aux arguments souvent entendus contre le végétarisme Pour celles et ceux qui seraient tentés Retour. Cliquer sur l'image. Accueil. Et si on réagissait ? Jeudi Vert en 3
Jele fais pour ma santé, pour la protection des animaux et pour l’environnement : 3 arguments imparables qui, je pense, justifient pleinement le passage au végétarisme ! Précédent Que boire en cas de forte chaleur ?
Rencontre 100 Gratuite Pour Les Hommes. Bonnes raisons de devenir végétarien Albert Einstein disait "Rien ne peut être aussi bénéfique à la santé humaine et augmenter les chances de survie de la vie sur terre que d'opter pour une diète végétarienne". Mort il y a maintenant soixante ans, le célèbre physicien avait compris bien avant nous que se nourrir de viande n'était pas forcément une bonne idée. Aujourd'hui plus encore, devenir végétarien est bénéfique pas seulement pour votre santé, mais pour la planète. Si vous en doutez encore, voici au moins 10 bonnes raisons de passer au régime sans côtelettes. 1/Parce que manger de la viande nuit à l'environnement Selon un rapport rendu par les Nations Unies en 2013, la production de nourriture animale générerait 14,5% de gaz à effets de serre, dont 9,3% pour les seuls bovins. Pour être plus précis, le secteur de l'élevage produit 7,1 milliards de tonnes d'équivalent de CO2. Les émissions sont majoritairement dues à l'élevage des ruminants, la digestion des bovins les vaches pètent du méthane, un gaz à effet de serre 25 fois plus puissant que le CO2, la production et la transformation du fourrage, la fermentation du fumier, et bien sûr le transport des animaux et de la viande. Si vous n'êtes pas convaincue, dites-vous que le CO2 émis pour produire 1 kilo de boeuf est équivalent au CO2 émis par une ampoule de 100 watts allumée pendant 20 jours. Dites-vous aussi que le fameux méthane éjecté par les bovins est responsable pour la moitié du réchauffement climatique causé par l'homme. 2/Parce que les animaux sont doués de sensibilité Souvenez-vous, en janvier dernier, le Parlement reconnaissait que les animaux étaient "des êtres vivants doués de sensibilité". Nos chiens et nos chats peuvent donc souffler, ils ne sont plus considérés comme des "biens meubles". Mais cet amendement est loin d'avoir fait plaisir à tout le monde. A l'époque, les principaux syndicats d'agriculteurs craignaient en effet que cela ne remette en cause la pratique de l'élevage. Il faut dire que depuis plusieurs années, les études qui prouvent que les animaux de ferme sont sensibles et conscients d'eux-mêmes se multiplient. On parle même de sentience animale. Par exemple, les vaches qui ont un nom et qui sont traitées comme des individus peuvent accroître leur production de lait. Une expérience réalisée par des chercheurs de l'université de Bristol a également démontré que les cochons ont conscience d'eux-mêmes. Ils peuvent ainsi utiliser des techniques pour tromper leur entourage ! Quant aux moutons, ils gardent en mémoire les visages d'autres moutons et de personnes humaines pendant deux ans et réagissent de façon émotionnelle à certains visages. 3/Parce qu'un poulet n'est pas moins bête qu'un chien En Asie, notamment en Chine et au Vietnam, manger du chien et du chat fait partie des traditions culinaires. On peut s'offusquer, dire que nos compagnons à quatre pattes méritent d'être traités avec respect et qu'ils sont "doués de sensibilité", mais n'est-ce pas faire preuve d'une légère hypocrisie ? Comme on vient de le voir, les animaux élevés chez nous pour leur consommation sont aussi complexes qu'un chien ou un chat. Une étude britannique menée en 2013 a même prouvé que la poule était extrêmement intelligente. En effet, cette dernière peut compter jusqu'à cinq, et a la logique de planifier à l'avance. Les poules font même preuve de self-control ! Lors d'une expérience, 93% des poules testées ont compris que plus elles attendaient avant d'appuyer sur un bouton pour recevoir leur pitance, plus les portions étaient conséquentes. Et ce n'est pas fini. Dès son plus jeune âge, le poussin comprend qu'un objet déplacé hors de sa vue continue d'exister, ce qui n'est pas le cas pour un enfant humain en bas-âge, qui développe ce type de compétence à partir de l'âge d'un an. Au terme de ses recherches, la scientifique Siobhan Abeyesinghe a très bien résumé pourquoi nous nous obstinons à voir dans la poule un animal bête "Nous avons cette protection psychologique qui consiste à dévaloriser les animaux que nous utilisons pour produire de la viande, ainsi nous ressentons moins d'inquiétude à leur sujet". 4/Parce qu'élevage industriel = souffrance animale En février dernier, la journaliste Anne de Loisy publiait un livre très documenté sur la filière de la viande intitulé Bon appétit ! Quand l'industrie de la viande nous mène en barquette. Elle expliquait alors que les images de vaches à la cool dans les prés vendues aux consommateurs étaient bien loin de la réalité. Interrogée par Libération, elle confiait "Le plus impressionnant, c'est l'industrialisation de l'abattage. Faire passer un animal de vie à trépas, c'est forcément un peu gore. Mais l'industrialisation de cette étape-là est extrêmement violente les bêtes sont abattues à une telle cadence qu'elles sont encore vivantes au moment où on les tronçonne". Et ça, ce n'est qu'une petite partie des horreurs qui attendent lapins, poules, vaches, poulets etc. Parce que l'élevage industriel, c'est aussi des porcelets castrés à vif, des milliers de poules qui s'entassent les unes sur les autres sans jamais voir la lumière du jour, des lapins coincés dans des cages minuscules qui finissent par tuer leurs petits en les écrasant... A cause de l'exploitation industrielle, ce sont des millions d'animaux "doués de sensibilité" qui sont torturés chaque jour. Comme le dit si bien Paul McCartney dans ce reportage ci-dessous "Si les abattoirs avaient des vitres, tout le monde serait végétarien". Attention, ces images peuvent choquer. 5/Parce que manger de la viande est mauvais pour la santé Au cours des cinquante dernières années, la consommation de viande a augmenté de 60% en Europe. Manger de la viande est devenue une habitude alimentaire, et sans vous en rendre forcément compte, vous en ingurgitez peut-être à chaque repas. Mais ingurgiter trop de viande c'est comme manger trop de sucre, ou boire trop d'alcool c'est mettre sa santé en danger. De nombreuses études scientifiques ont ainsi démontré que cette surconsommation a un lien direct avec les maladies cardiovasculaires, certains cancers intestin, prostate, côlon, pancréas, sein, poumons, les attaques cérébrales, le diabète, l'hypertension, et bien sûr, l'obésité. Ainsi, un homme d'âge moyen a trois fois plus de risques de mourir d'une maladie cardiovasculaire qu'un végétarien. Qui plus est, l'élevage intensif décrit ci-dessus fait que la viande elle-même est porteuse de maladie. Le recours massif aux antibiotiques et aux hormones favorise le développement de certaines bactéries comme la Salmonella. Chaque année, plus d'un million de personnes perdent la vie à cause d'une intoxication alimentaire. 6/Parce que la déforestation ! L'élevage de bovins est la principale cause de la déforestation de la forêt amazonienne. En 2009, Greenpeace présentait ainsi un rapport aussi détaillé qu'alarmant 80% de cette jungle a été rasée pour servir de pâture au bétail ou pour cultiver les céréales qui serviront à les nourrir. Cela représente 14% de la déforestation de la planète. De leur côté, les Nations Unies estiment que plus de 40% des forêts tropicales en Amérique Centrale ont été brûlées ou rasées. Cette déforestation a donc un énorme impact sur notre monde. Alors qu'un hectare de forêt tropicale est capable d'absorber une tonne de CO2 par an, les hommes détruisent cette même forêt pour y installer des bovins qui relâchent d'énormes quantités de CO2 plusieurs milliards de tonnes métriques chaque année. Les dommages environnementaux sont également très graves dégradation des terres, inondations, glissements de terrain, érosion, c'est toute la structure des sols qui est détruite. Enfin, la déforestation provoque aussi la disparition d'espèces. Une centaine s'éteindrait ainsi chaque jour. 7/Parce que l'élevage consomme trop d'eau D'après l'Organisation Mondiale de la Santé, 2,4 milliards de personnes n'auraient pas accès à l'eau potable, soit un tiers de la population mondiale. Mais à côté de ça, 70% de nos ressources en eau potable sont utilisées par le secteur agricole et la majeure partie pour l'élevage. Ainsi, environ 5 000 litres d'eau sont requis pour produire 1000 kcal d'aliments d'origine animale, tandis que 1 000 litres d'eau sont nécessaires si l'aliment est d'origine végétale. En devenant végétarien, on économise donc des milliers de litres d'eau par jour et imaginez si vous choisissez de devenir végétalien !. Qui plus est, l'élevage ne gaspille pas seulement l'eau, il la pollue aussi. Par exemple, la pisciculture élevage de poissons en eau douce contribue énormément à la pollution de l'eau à cause des antibiotiques, des hormones et des déchets animaux. Enfin, près de 80% des émissions d'ammoniac proviennent de l'élevage. Celui-ci se dissout dans les précipitations, ce qui provoque des pluies acides. Pluies qui vont détruire les éléments nutritifs du sol. A noter que la France est le premier pays émetteur en Europe, avec 97% d'émissions d'ammoniac d'origines agricoles. 8/Parce que la consommation de viande contribue à la famine 795 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde soit 1 personnes sur 9 et cela est le résultat de nombreux facteurs, à la fois sociaux, géographiques et économiques. Et croyez-le ou non, devenir végétarien est l'une des solutions pour repousser la famine. En effet, plus de la moitié des cultures céréalières servent à nourrir le bétail, quand on pourrait nourrir les hommes. Au moins 80% des cultures mondiales de soja et plus de 50% des cultures de maïs se retrouvent dans l'assiette des animaux d'élevage. Pour vous faire une idée si la population mondiale devenait végétarienne, la Terre pourrait nourrir 15 milliards de personnes nous sommes aujourd'hui 7 milliards. 9/Parce qu'être végétarien, ce n'est pas si compliqué De nos jours, être végétarien n'est plus considéré comme une extravagance et il est très facile de se nourrir convenablement, au restaurant comme à la maison. Il existe de nombreux aliments végétaux qui contiennent des protéines, et malgré la légende bien ancrée, un végétarien ne risque pas forcément de souffrir de carences sinon, il y a toujours la vitamine B12. Puis comme expliqué plus haut, une alimentation sans viande permet de prévenir les risques d'obésité, les problèmes cardiovasculaires, les cancers ou encore le diabète. 10/Parce qu'être végétarien, c'est cool ! Preuve qu'être végétarien n'est plus une sombre tendance hippie, les plus grandes stars d'Hollywood sont toutes anti-viandes. Parmi elles, on trouve par exemple Beyoncé, qui a récemment agacé ses fans en leur annonçant qu'elle était devenue vegan on les comprend, ils s'attendaient à un nouvel album. La liste des personnalités végétariennes est extrêmement longue et comprend par exemple Morrisey le plus intransigeant, Natalie Portman, Jessica Chastain, Joaquin Phoenix il narre d'ailleurs le documentaire Earthlings, Leonardo DiCaprio, Lea Michele, Jared Leto, ou encore Peter Dinklage... Etre végétarien n'a jamais été aussi cool. Alors, pourquoi pas vous ?
Le véganisme est un mouvement arrivé en France en 2010, d’origine Anglaise. Qu’est ce que c’est ? Avant tout, il y a une vraie différence entre le véganisme » et le être végétalien » ! Le végétalien ne mange aucun produit d’origine animale. Le véganisme, lui, ne se traduit pas uniquement par une façon de s’alimenter. D’ailleurs, on le retrouve dans la définition du Larousse Mode de vie alliant une alimentation végétalienne exclusivement végétale et le refus de consommer tout produit, vêtements, chaussures, cosmétiques… issu des animaux ou de leur exploitation. » Donc, être vegan c’est un régime alimentaire végétalien ; des vêtements sans aucun composant d’origine animale fourrure, perle, laine, plumes, cuir, soie… des cosmétiques et produits d’entretien sans ingrédients d’origine animale cire d’abeille, kératine, collagène… et non testé sur les animaux. Des loisirs non basés sur la souffrance ou l’exploitation animale chasse, pêche, corrida, équitation, cirque… Être vegan », c’est aussi réfléchir autrement. C’est un choix personnel motivé par une envie d’écologie, d’éthique, de respect des animaux… On devient vegan » et végétalien, pas à pas. C’est un apprentissage progressif, et pour cause ! On n’arrête pas d’un coup de manger des produits d’origine animale, au risque de mal se nourrir et d’engendrer des carences. Côté alimentation ?! AVANTAGES INCONVÉNIENTS 1/ Les protéines de qualité sont apportées par l’association de céréales et de légumineuses. 2/ Plus de fibres et de lipides de meilleure qualité. 3/ Moins de risques de maladies cardio-vasculaires, de diabète, de cancer colorectal. 1/ Attention à apporter suffisamment de protéines végétales l’apport en protéine chez une personne végétalienne doit être supérieur à l’apport de protéines chez une personne omnivore car les protéines végétales sont moins bien absorbées que les protéines animales. 2/ Attention à la vitamine B12 et à l’iode essentiel pour le fonctionnement de la thyroïde que l’on ne trouve que dans les produits animaux et les algues. 3/ Le fer et le calcium des végétaux sont moins bien adsorbés que ceux d’origine animal. 4/ Un régime végétalien mal conduit peut conduire à une prise de poids les aliments choisis et substituts carnés sont plus énergétiques que les produits animaux. Comment adopter une alimentation végétalien ? De façon PROGRESSIVE ! Voici des alternatives pour remplacer les produits d’origine animale 1/ Remplacer les produits carnés Le tofu il est issu du caillage du lait de soja. Il est riche en protéines végétales et pauvre en graisses saturées. Le seitan c’est le substitut qui ressemble le plus à de la viande ! Fabriqué à base de protéine de blé et d’eau, le seitan est riche en protéines. Niveau qualité, il est important de combiner le seitan à des légumineuses lentilles, haricots blancs ou rouges… afin de compléter l’apport protidique. Le tempeh fabriqué à base d’haricots de soja fermentés, il est plus gras que le tofu. Il contient des protéines de qualité. Les protéines de soja issues de farines de soja déshydratées et déshuilées. On les trouve sous différentes formes pour les utiliser comme substituts de produits carnés. Leur texture et leur goût sont très proches de ceux de la viande. On les retrouve beaucoup dans les produits simili-carnés. → test de quatre produits simili-carnés en cliquant ici 2/ Remplacer le beurre L’huile de coco comme le beurre, elle est solide à température ambiante. Idéal pour retrouver la texture du beurre. Les purées d’oléagineuses sont également de très bonnes alternatives amandes, noisettes, sésame… 3/ Remplacer le lait Les boissons végétales à base de soja, de riz, d’amandes, d’épeautre, d’avoine ou de noisettes. Vérifiez que cette boisson soit bien enrichie en calcium c’est très important, il est indispensable au fonctionnement de notre organisme. 4/ Remplacer les yaourts Des yaourts de soja, noix de coco et d’amandes existent dans le commerce et leur texture est très proche du yaourt traditionnel. 5/ Remplacer le fromage Le faux-mage à base de noix de cajou est moins riche en graisses saturées mais aussi en calcium que le fromage traditionnel. Sa texture reste à perfectionner il fond mais ne gratine pas à la cuisson. 6/ Remplacer les œufs Le côté liant du jaune d’œuf en pâtisserie peut être remplacé par de la maïzena, de la farine, 1 cs d’huile de coco ou de noisette ou encore 1 cs de compote de pommes. La légèreté du blanc d’œuf montée en neige peut être remplacé par de la levure chimique. 7/ Remplacer la crème La crème végétale de soja, de riz ou d’avoine elles sont, selon les marques, riches en sucre malheureusement. Pour une crème chantilly, seule la crème de coco possède assez de matière grasse pour être suffisamment fouettée. 8/ Remplacer le miel Sirops d’érable ou d’agave extraits des végétaux. Respectons nos besoins… Vérifions ensemble si l’apport protidique peut être équivalent pour un régime normal dit omnivore » et pour un régime végétalien » Régime omnivore Régime végétalien Un bol de lait ½ écrémé 8 g Un Yaourt 5 g Une portion de fromage 6 g 1,5 portion de Viande/Poisson/Oeuf 31 g Une portion de pain 8 g Deux portions de céréales 10 g Deux portions de légumes 3 g Deux yaourts de soja 10 g 30 g de noix de cajou 4,2 g Deux portions de légumineuses 35 g Une portion de pain 8 g Deux portions de céréales 10 g Deux portions de légumes 3 g Total de protéines sur la journée 71 g Total de protéines sur la journée 70 g → 70 g est l’apport moyen de protéines conseillé chez la femme adulte. Source ANSES Quantitativement, l’apport en protéines est correct. Qualitativement, bien que l’association de légumineuses et de céréales apportent des protéines de qualité, les végétaux possèdent dans leur composition de l’acide phytique. Cet acide diminue la biodisponibilité des protéines dans l’organisme elles sont donc bien moins absorbées que les protéines animales. Augmenter la quantité de produits protéinés permettrait de résoudre ce problème d’absorption…. Au niveau des glucides on sait que les produits carnés n’en apportent pas du tout. Or, les légumineuses apportent leurs protéines de substitution et, avec elles, près de 70 g de glucides pour 100 g ! Il est donc conseillé, dans un régime végétalien, de veiller à la quantité de produits sucrés et de fruits consommés, qui eux, apportent exclusivement des glucides. Sport et alimentation végétalienne ? Le besoin en protéines et énergétiques en glucides augmente chez les sportifs, donc ils doivent manger plus. Une alimentation végétalienne équilibrée et variée peut leur convenir. Cependant, la mise en place d’un régime alimentaire si restrictif doit être mis en place avec l’aide d’un professionnel de santé afin d’éviter les carences et le risque de blessure. Conclusion Pour répondre à ma question Pour ou contre le régime végétalien… Je dirais qu’il y a assez de solutions alimentaires pour tous. L’offre alimentaire aujourd’hui est assez vaste pour contenter les envies, les croyances et les convictions de chacun. Vous souhaitez devenir végétalien ? Je vous donnerais deux conseils 1/ préoccupez-vous de votre santé. Supprimer des aliments de son alimentation du jour au lendemain peut être violent pour votre corps. Mettez en place des actions de façon progressive afin d’aboutir à un régime végétalien en pleine santé. Faites-vous aider par un pro ! 2/ vos convictions vous appartiennent. D’autres personnes souhaites manger de la viande et ne partage pas forcément votre avis. Débattez et défendez votre avis, mais ne l’imposez pas ! Vous savez tout ! Jessica – lejournaldunediet
Entre les préoccupations grandissantes quant au contenu de notre assiette, les risques pour l’environnement et les scandales sur les conditions de traitement des animaux, devenir végétarien s’avère une vraie question d’actualité. Par Chantal RuffinVisuel OrediaLes pour ->Protéger l’environnement C’est un fait, notre planète a des ressources en eau limitées. Or l’élevage d’animaux en nécessite beaucoup. Six à vingt fois plus que celle des céréales, souligne la FAO*. Mais ce n’est pas tout. Pour subvenir aux besoins alimentaires des animaux d’élevage, des forêts sont rasées. C’est le cas de la forêt amazonienne, largement amputée au profit de la culture de soja. Pourtant, la disparition des forêts serait l’une des principales causes des changements climatiques. Notamment du réchauffement de la planète, car le CO2, qui n’est plus absorbé par les arbres, retourne dans l’atmosphère et participe à l’effet de les animauxCeux qui se penchent sur le contenu de leur assiette sont souvent les mêmes qui s’interrogent sur le bien-fondé de tuer des animaux et de la façon cruelle dont ils sont traités avant et pendant l’abattage à lire sur le sujet Faut-il manger des animaux ? de Jonathan Safran Foer, éditions de l’Olivier. Pourquoi tuer un bœuf, un cochon, un cheval, plus qu’un chien ou un chat ? D’autant que la nature offre tout ce dont le corps humain a besoin. Même sportif, l’homme peut trouver les ressources nécessaires pour lui donner de l’énergie, comme l’a prouvé le champion olympique et végétarien Carl bon pour la santé Selon un rapport de l’Association Américaine de Diététique les personnes ayant une alimentation végétarienne équilibrée, riche en fruits et légumes, céréales complètes, fruits à coques, soja, seraient moins touchées par certaines maladies. A contrario, la consommation de mauvaises graisses contenues dans la viande favoriserait les problèmes cardio-vasculaires, le diabète ou encore le cholestérol. Une autre étude américaine révèle que la viande rouge et transformée saucisson, jambon, etc. augmenterait les risques de cancer. En outre, l’utilisation d’antibiotiques sur les animaux n’est pas sans conséquences pour l’homme, car les bactéries plus résistantes sont moins faciles à traiter.*Rapport disponible en français sur des Nations unies pour l'alimentation et l'agricultureLes contre ->Etre vigilant sur ses apports nutritionnels Devenir végétarien suppose de connaître les apports nutritionnels dont le corps a besoin afin d’équilibrer son alimentation. Ce qui peut sembler contraignant. Les végétariens doivent contrôler leur apport en fer, présent dans la viande, mais que l’on retrouve ailleurs comme dans - les produits laitiers, les œufs - les oléagineux noix, amandes, graines de courges, de sésame - les légumineuses lentilles, pois chiches, haricots blancs et rouges - les graines germées pousses de soja, de lentille, d’alfalfa - le tofu, qui est fabriqué à partir de lait de soja, existe sous forme de steaks, quenelles, le quinoa Les femmes en début de cycle ou enceintes, souvent sujettes à l’anémie, doivent être particulièrement pression socialeBasculer dans le végétarisme, c’est prendre le risque de se sentir exclu. Car la convivialité passe par le bien manger et la viande, en France, tient encore toute sa place dans nos assiettes. Pas facile de changer ses habitudes, ses goûts, de passer outre la tradition.
Le végétarisme est un sujet controversé- il y a beaucoup des arguments pour et contre le sujet. Je suis un carnivore, donc je n'ai pas une vision équilibrée de la pratique du végétarisme- j'adore du viande, et je pense c'est très important pour nous. Des raisons d’être végétarien sont pour les éthiques; par exemple, si on veut de mettre en évidence les conditions des poules en batterie, c'est une bonne méthode. Aussi, si on est un environnementaliste, on sait que le production de la viande produit beaucoup de méthane, qui est mauvais pour l'environnement. Cependant, si on est végétarien, on ne peut pas trouver le protein qui est nécessaire pour une régime équilibré, donc peut-être on a des problèmes de santé. Aussi, c'est difficile pour ses amis où on va chez amis. Finalement, c'est mauvaise pour les fermeurs qui travaillent dans l’élevage du bétail.
Alors que Grégory Doucet a instauré un menu unique sans viande dans les cantines de sa ville pour des contraintes sanitaires, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer une mesure "sectaire" et "idéologique". Mais ces arguments sont-ils défendables ?"Une honte !" Le ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie, n'a pas mâché ses mots en réagissant, mardi 23 février, sur RTL, à la décision de la mairie de Lyon Rhône de fournir provisoirement des menus uniques sans viande dans les cantines. "Qui peut comprendre qu'aujourd'hui, dans les cantines de la République, on arrête de servir de la viande tous les jours de la semaine ? Evidemment, moi je ne le comprends pas, mais comme beaucoup, beaucoup, de parents d'élèves", a-t-il tonné tandis que la polémique continue de diviser la classe politique, jusqu'au sein du gouvernement. Pour la mairie de Lyon, dirigée par l'écologiste Grégory Doucet, supprimer l'option carnée et proposer un menu unique permet d'"accélérer le service" afin de mieux se plier aux exigences du nouveau protocole sanitaire contre le Covid-19. Une mesure d'ordre technique qui permettrait d'enchaîner plus de services pour compenser la réduction de l'accueil d'enfants du fait de la pandémie. Or, la justification n'a pas convaincu ses détracteurs, prêts à rivaliser d'arguments pour défendre la bidoche à la cantoche. Franceinfo décortique ces arguments. Il s'agit d'une mesure "idéologique" c'est discutable Pour la droite lyonnaise, cela ne fait aucun doute l'idéologie s'est invitée dans l'assiette. Pour l'élue LR Béatrice de Montille, "la majorité écologiste profite de la crise sanitaire pour faire passer des mesures idéologiques sans aucune concertation". Le président du groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau, a quant à lui dénoncé une "tentation totalitaire d'un courant de pensée qui veut imposer ses options à tous par la contrainte". Même le gouvernement s'est engouffré dans la polémique, par la voix du ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, lequel fustigeait sur Twitter une "idéologie scandaleuse". Pourtant, le maire écologiste Grégory Doucet n'est pas le premier à opter pour cette mesure dans la même perspective de gain de temps, l'ancien maire de la ville, très proche d'Emmanuel Macron, Gérard Collomb, avait pris la même décision à l'occasion de la première vague épidémique, sans susciter de remous dans la majorité présidentielle. "A l'époque, cela avait été reçu comme du pragmatisme, c'est aujourd'hui considéré comme 'dogmatique', 'sectaire' et 'idéologique'", fustige un communiqué d'Europe Ecologie-Les Verts. Interrogé par France Bleu, le cabinet du ministre de l'Agriculture s'est justifié, invoquant "une vraie différence de situation entre mai et maintenant. ... Nous ne sommes plus dans une situation d'urgence, face à une situation exceptionnelle." Quant à Gérard Collomb, il a rejoint la manifestation des agriculteurs en colère organisée à Lyon lundi après-midi. Pour la porte-parole d'EELV, Eva Sas, proche de Yannick Jadot, "il y a clairement une volonté de nuire, de nous dépeindre en idéologues et jusqu'au-boutistes". L'ancien marcheur Matthieu Orphelin, député écologiste du Maine-et-Loire, dresse une analyse similaire dans les colonnes de Libération alors que l'écologie s'impose comme une préoccupation majeure des Français à l'approche de la présidentielle de 2022, les soutiens d'Emmanuel Macron "veulent tenter de montrer que d'un côté, il y a une écologie idéologique qui est celle d'EELV et l'écologie du progrès, que porterait LREM". "Typiquement, les menus végétariens dans les cantines scolaires sont un sujet sur lequel on devrait pouvoir débattre, remarque-t-il. Mais non, le gouvernement ne veut pas débattre de ça. Il veut juste cliver." Les enfants de "familles modestes" ne mangent de la viande qu'à la cantine c'est faux "Pour les familles modestes, la cantine est souvent le seul lieu où les enfants peuvent manger de la viande dans la semaine", croit savoir Béatrice de Montille. Pour sa part, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a fustigé sur Twitter "la politique moraliste et élitiste des 'Verts' [qui ] exclut les classes populaires. De nombreux enfants n'ont souvent que la cantine pour manger de la viande". En plus de l'insulte inacceptable aux agriculteurs et aux bouchers français, on voit bien que la politique moraliste et élitiste des Verts » exclut les classes populaires. De nombreux enfants n'ont souvent que la cantine pour manger de la viande... Idéologie scandaleuse. — Gérald DARMANIN GDarmanin February 20, 2021 La viande n'est pourtant plus le marqueur social d'autrefois, comme le confirmait en 2013 une étude réalisée par le ministère de l'Agriculture "Alors que la consommation de poisson reste plus fréquente dans les foyers plus aisés, celle de viande, jadis réservée aux catégories favorisées, est désormais plus importante dans le bas de l'échelle sociale." Ainsi, en 2007, "la consommation moyenne de produits carnés des cadres et professions libérales était de 112 g par jour tandis que celle des ouvriers s'élevait à 137 g par jour". D'autres études, plus récentes, dressent un parallèle entre le niveau d'éducation et la consommation de viande. Ces travaux de l'Anses, datés de 2017 et rapportés par Le Monde, indiquent que la proportion de viande augmente dans les catégories qui ont arrêté l'école au niveau primaire et collège – et dont les revenus sont les plus faibles. Or, lorsque les enfants sont âgés de moins de 10 ans, leurs habitudes alimentaires sont corrélées au niveau d'étude de leur parent représentant, écrit Le Monde. Par ailleurs, le baromètre du Secours populaire pointe la difficulté des plus précaires à se procurer une alimentation variée viande inclue. Et ce, alors que "les élèves issus de familles défavorisées sont deux fois plus nombreux à ne pas manger à la cantine que les élèves issus de familles favorisées et très favorisées", selon le ministère de la Santé. Les enfants ont "besoin de viande" pour grandir c'est discutable Dimanche, le ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie, a annoncé qu'il saisissait le préfet du Rhône à propos des menus sans viande dans les cantines scolaires lyonnaises. "Donnons-leur simplement ce dont ils ont besoin pour bien grandir. La viande en fait partie", écrivait-il sur Twitter. Pour le député et porte-parole de LREM, Jean-Baptiste Moreau, agriculteur de profession dans la Creuse, des "nutriments essentiels pour les enfants" sont présents dans la viande. Le lendemain – première journée de l'application de la mesure –, les enfants ont découvert dans leur assiette une salade de haricots verts bio, du merlu sauce ciboulette, du chou vert et des pommes de terre, ainsi que de la crème anglaise et une compote, selon Le Parisien. Alors, assez équilibré pour les enfants ? "Il leur faut en particulier des protéines, des acides aminés. C'est vrai que la viande en fournit", remarque Frédéric Saldmann, cardiologue et nutritionniste, sur franceinfo. "Mais des alternatives existent, comme les œufs, comme le poisson, mais également des protéines comme les pois chiches. Il y a du choix", poursuit ce spécialiste de l'alimentation. Ainsi, un repas végétarien ne va donc pas "empêcher" un enfant de grandir "dans la mesure où il est équilibré". "Il faut d'autres sources de protéines et essayer de bien comprendre le goût des enfants", conclut le nutritionniste. Un menu carné peut être plus "écolo" qu'un menu sans viande a priori, c'est faux C'est un autre argument avancé dans un communiqué de la FDSEA du Rhône celui de l'écologie via la promotion d'une filière française vertueuse. "Nos modèles d'élevages apportent une complémentarité agronomique, une biodiversité !" a ainsi réagi le syndicat agricole. "Je réitère mon étonnement sur le remplacement de la viande par le poisson et les œufs, dont les conditions de production sont souvent tout sauf écologiques", a opposé un internaute cité dans notre direct, tandis que d'autres vantaient les circuits courts. Cependant – n'en déplaise aux amateurs de barbecue –, impossible de rivaliser avec la viande en termes d'émissions de gaz à effet de serre, et en particulier, avec la viande de bœuf. Comme l'explique le site Carbon Brief, qui détaille l'impact en terme d'émissions de gaz à effet de serre de l'alimentation, la part du transport est minime dans le calcul des émissions produites par l'élevage, au détriment d'autres facteurs, comme l'importation de la nourriture destinée à ses animaux.
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